Oser la vie !

Concert Gospel, Negro-spirituals, Mozart

Le 19 mars 2011 à 18 heures, à l’Eglise de Sombreffe, Place de Mont,

Oser la Vie organise un concert de Gospel, Negro-spirituals, musique de Mozart,

avec la soprano congolaise Pascaline Mevanza, les pianistes Anne Leuridan et Martin Stevens, la chorale Saint-Antoine, sous la direction de Brigitte Misonne.

Les places sont en vente à 8€ en prévente, 10€ sur place et 5€ pour les moins de 12 ans.ING : 360-1034219-11 communication : concert Sombreffe 2011.

Renseignements et réservation : 071/88 59 02 ou 0475 791 437.

Une petite restauration africaine et européenne est possible sur place après le concert.

Vous ne pouvez pas venir ? Vos dons seront les bienvenus !

Scolarisation

A ce jour, nous avons assuré avec succès la scolarisation de 47 enfants, dont 24 filles et 23 garçons, âgés de 10 à 17 ans.

Campagne de sensibilisation

Du 4 décembre 2009 au 15 février 2010, nous avons réalisé une campagne de sensibilisation annuelle auprès de la population locale sur les méfaits et l’aspect criminel des maltraitances engendrées par les accusations de sorcellerie sur des enfants.

Au cours de cette comédie musicale purement congolaise : « Basal’ya bazoba »,  nous les avons aussi informés sur la nouvelle loi portant protection de l’enfant en R D C. Cette loi a été promulguée par le Président Kabila en 2008.

Nous avons mis un accent particulier sur les articles 49 et 160.

Article 49 : Les pratiques, traditions et coutumes qui portent atteinte au développement, à la santé, voire à la vie de l’enfant sont interdites.

Article 160 : Quiconque impute méchamment et publiquement à un enfant un  fait précis qui est de nature à porter atteinte à son honneur et à sa dignité est puni d’une servitude pénale principale de deux à douze  mois et d’une amende de deux cents mille à six cents mille francs congolais.En cas d’accusation de sorcellerie à l’égard d’un enfant, l’auteur est puni d’une servitude pénale principale de un à trois ans et d’une amende de deux cents mille à un million de francs congolais.

La réalisation de cette campagne a pu voir le jour grâce au soutien des Théâtres Ambassy et La Compagnie Dakar  (Pays-Bas.)  En tout cette campagne s’est produite dans toutes les 24 communes de Kinshasa à raison de 4 représentations par commune dans des écoles ou des lieux publics (terrains de football)

Lire la suite »

Activités

En Belgique – Collecte de fonds

Vous pouvez nous soutenir aussi en vous faisant plaisir en participant à nos activités de collectes de fonds.

19 mars 2011 à 18 heures à l’église de Sombreffe, Place de Mont :Concert de Gospel, Negro-spirituals, musique de Mozart.avec la soprano congolaise Pascaline Mevanza, les pianistes Anne Leuridan et Martin Stevens, la chorale Saint-Antoine, sous la direction de Brigitte Misonne.

25 juin 2010 à partir de 19 h 00  Stand restauration à la Nuit de la musique au Bois de Rêves OttigniesDu 06 au 08 août 2010 de 12 h00 à 24 h00  Stand restauration au festival Esperanzah !

En République Démocratique du Congo

Du 12 au 19 juin 2010 : Les enfants présenteront une pièce de théâtre ayant comme thème «  l’accès à l’éducation pour tous »

Du 04 décembre 2009 au 15 juin 2010 : Campagne de sensibilisation « Basal’ya Bazoba » : une comédie musicale sur la problématique des enfants dits sorciers et la nouvelle loi portant protection de l’enfant au Congo.

Kinshasa, conclusions de la campagne “Un enfant, c’est pas sorcier”

En point final de la campagne de sensibilisation, cette manifestation a tenté de convaincre la population et ses dirigeants qu’un enfant, c’est pas sorcier et qu’il doit être protégé.

En conclusion de la campagne générée par le Théâtre de Poche et les subsides qu’il avait obtenu du CGRI, les différents partenaires, en tête desquels se trouvent les associations ASADHO, Cefocrim et Oser la Vie, ont décidé d’établir un plan en cinq ans pour approfondir le travail entrepris.

Les cibles seront les médias et les écoles.

La pièce “Un enfant, c’est pas sorcier” a été jouée dans une école et la direction souhaite prendre ce thème comme axe de travail avec les élèves pour l’année scolaire qui va s’ouvrir en septembre. C’est dire comme la problématique des enfants accusés de sorcellerie est considérée comme cruciale. Des dizaines d’autres écoles doivent être sensibilisées.

Quant aux médias, chacun sait l’influence qu’ils exercent sur la population et le collectif entend bien les utiliser un maximum pour éradiquer ce fléau.